Hölderlin, Friedrich (1770-1843) : Socrate et Alcibiade

Pourquoi toujours à ce jeune homme, saint Socrate,
……Rends-tu honneur ? Ne connais-tu rien de plus grand ?
…………Pourquoi d’un œil énamouré
………………Le regarder comme les dieux ?

Qui pense au plus profond aime le plus vivant ;
……Fleur de l’âge comprend qui regarde le monde,
…………Et à la fin souvent se penchent
………………Les sages sur ce qui est beau.


Warum huldigest du, heiliger Sokrates,
……Diesem Jünglinge stets? kennest du Größers nicht?
…………Warum siehet mit Liebe,
………………Wie auf Götter, dein Aug´ auf ihn?“

Wer das Tiefste gedacht, liebt das Lebendigste,
……Hohe Jugend versteht, wer in die Welt geblickt,
…………Und es neigen die Weisen
………………Oft am Ende zu Schönem sich.


Cette traduction originale, due à Lionel-Édouard Martin, relève du droit de la propriété intellectuelle. Il est permis de la diffuser, à la condition expresse que le nom du traducteur soit clairement indiqué.

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