Posés là, peu mobiles (in Les Saisons du poème, 1, éd. Tarabuste)


J’ai le plaisir d’annoncer la publication de Posés là, peu mobiles, dans l’ouvrage collectif Les Saisons du poème aux éditions Tarabuste.
Il s’agit d’une composition en 67 poèmes, organisée en 7 suites :

1. Sans les dieux (déploration)
2. Grand étang (tempo di menuetto)
3. Automne terre intérieure (instantanés)
4. Mots, pas, arbres (méditations)
5. Anecdotes (propos)
6. Campagnes sous canicule (vignettes)
7. Éoliens, éoliennes (chansons)

ARGUMENT

À défaut de pouvoir, projet trop titanesque, « habiter poétiquement le monde », peut-être est-il possible d’en habiter plus modestement quelques arpents, quelques-uns de ces journaux mesurés, mieux qu’avec le système métrique, par la présence humaine. Posés là peu mobiles se voudrait l’enregistrement d’échos de cette dernière dans de vieilles campagnes enkystées de calcaire, parfois bourrelées de canicule : pour, au rythme de douzains le plus souvent d’octosyllabes, des choses vues exprimer les perdurances entre les anciens dieux et les nouveaux.

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