- Grégory Mion sur Critiques Libres
- Yggdrasil sur Un livre une fenêtre (dans le cadre de l’opération La Voie des Indés)
- Gildas sur Babelio (dans le cadre de l’opération La Voie des Indés)
- Marc Villemain sur son blog
- Zazy sur son blog (dans le cadre de l’opération La Voie des Indés)
- Pierre-Vincent Guitard sur Exigence Littérature
- Par Nikola Delescluse dans son émission Paludes du 6 décembre 2013 sur Radio Campus Lille
- Par Anna Potocka sur Libfly (dans le cadre de l’opération La Voie des Indés)
- Par Lydie Zannini de la Librairie du Théâtre à Bourg-en-Bresse, dans l’émission “À livres ouverts” sur RCF Bourg
- Par Lydie Zannini dans La Voix de L’Ain du 13/12/13
- Par Denis Arnoud sur Les lectures du Hibou
- Par Fiolof sur La Marche aux pages
- Neuf critiques réunies sur Libfly dans le cadre de l’opération La Voie des Indés
- Par Jean-François Delapré de la librairie Saint-Christophe à Lesneven
- Par Jacques Josse sur Remue.net
- Par Céline Righi sur L’Anagnoste
Petit florilège :
Voilà un livre rare et beau. Rare par son thème et sa langue. Beau par sa présentation. Une couverture bleu nuit étoilée et un arbre éclairé comme par la lune. Cet arbre ressemble aussi à des algues sous-marines. Ciel et profondeurs donc. […] J’ai beaucoup d’admiration pour ce texte. Pour la force d’imagination qu’il révèle. Pour son caractère suggestif et poétique. Pour son style surtout. Sensuel, inventif, souvent proche de l’expression orale. Avec des variations de rythmes. On entendrait presque un accent local. (Anna Potocka)
Un style pur, désossé, il n’y a pas de couenne, pas de gras. C’est une écriture magnifique, c’est superbe. (Lydie Zannini)
Dans Nativité cinquante et quelques, on se promène entre Dickens, Maupassant, Giono et Henri Pourrat. Et dans une nuit de Noël transfigurée. Tous les éléments sont réunis, de l’étoile du berger jusqu’à l’Enfant Jésus en passant par les Rois Mages, la Vierge, l’âne et le bœuf. Mais bien que reconnaissables, ses éléments sont métamorphosés, déplacés et bousculés pour composer une délicate et sombre crèche païenne. On sera également touché par un style de l’auteur que nous connaissions moins. Les longues séquences de L-E. Martin qui savent travailler et penser la langue qu’elles déploient sous nos yeux sont ici digérées en phrases brèves, assénées comme dans le souffle court d’un marcheur pressé qui avance dans la neige. (Fiolof)