Dépendances de l’ombre est d’évidence un recueil très accompli. Le terme de recueil, d’ailleurs, ne convient peut-être pas : sa composition fait du livre un itinéraire dans un espace de vie, ponctué d’étapes, enclos, au début et vers la fin, de proses courtes comme pour en délimiter la géographie. ».
Dépendances de l’ombre, Véronique Gentil, aux éditions Pierre Mainard, 2008.
Regard, par Lionel-Édouard Martin sur LE VAMPIRE RE’ACTIF