Goethe : Chant nocturne du voyageur I / Wandrers Nachtlied I



Toi qui demeures dans les cieux,
Calmant tout mal, toute souffrance,
Comblant le deux fois malheureux
D’un doublement de renaissance,
Ah, je suis las de tout ce faix !
À quoi bon joies et ce qui mine ?
Ô douce paix,
Descends, descends dans ma poitrine.

Der du von dem Himmel bist,
Alles Leid und Schmerzen stillest,
Den, der doppelt elend ist,
Doppelt mit Erquickung füllest,
Ach, ich bin des Treibens müde!
Was soll all der Schmerz und Lust ?
Süßer Friede,
Komm, ach komm in meine Brust !


Cette traduction originale, due à Lionel-Édouard Martin, relève du droit de la propriété intellectuelle. Il est permis de la diffuser, à la condition expresse que le nom du traducteur soit clairement indiqué.


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