[…] Mais tu lézardes, oint, t’ensoleillant le derme :
Un quidam près de toi, te coudoyant, d’un ferme
Crachat conspue les mœurs, et ceux qui leurs parties
Désherbent pour montrer au peuple un vit flétri.
Tu peignes à tes joues du poil bien parfumé :
Pourquoi à ton bas-ventre un charançon rasé ?
Cinq lutteurs auraient beau s’acharner sur tes herbes
Et tes fesses embues, à coups de pince acerbe :
Pas même une charrue n’y aurait de succès… […]
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Cette traduction originale, due à Lionel-Édouard Martin, relève du droit de la propriété intellectuelle.
Il est permis de la diffuser, à la condition expresse que le nom du traducteur soit clairement indiqué.
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At si unctus cesses, et figas in cute solem,
Est prope te ignotus, cubito qui tangat, et acre
Despuat in mores, penemque arcanaque lumbi
Runcantem, populo marcentes pandere vulvas.
Tu cum maxillis balanatum gausape pectas,
Inguinibus quare detonsus gurgulio exstat?
Quinque palæstritæ licet hæc plantaria vellant,
Elixasque nates labefactent forcipe adunca,
Non tamen ista felix ullo mansuescit aratro.